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5 artistes-peintres de talent
associés aux sculpteurs de la galerie
Nikolai Stoev réinvente l’art naïf, même s’il puise son inspiration dans la tradition voir l’art médiéval.
Dans ses toiles les amateurs d’art et collectionneurs du monde entier apprécie sa géniale maîtrise des couleurs, des détails méticuleux et son sens des compositions qui animent chaque tableau.
Ses oeuvres sont des aventures éclairées de joie de vivre et souvent d’humour. L’artiste s’évade dans un monde inondé de lumière où les ciels sont d’azur et ses personnages imbibés d’étrangeté sont drôles, ridicules, pensifs, vifs, intelligents et en même temps, nous questionnent sur nos travers. Cette finesse d’esprit lié à une parfaire maîtrise technique, nous font comprendre pourquoi Nikolai STOEV collectionne prix et récompenses.
Entre les lignes
Pour Jean-Blaise GUYOT la ligne est un prétexte,
une "contrainte libératoire" qui structure l'espace
et introduit une dynamique de rapports de couleurs
sur un fond "jeté" librement. Huile sur bois selon
une technique qui remonte aux primitifs flamands.
De la technique de fusion créée par ANNELIAS entre divers matériaux a priori non miscibles naissent des oeuvres dont on ne saurait dire si elles sont de bronze, de bois, de métal, de terre, de pierre ou d'autres matières, ce qui donne à ces sculptures leur caractère si original.
Cette artiste de caractère, bretonne de naissance, peint sa terre natale avec passion. Estompant le détail, elle magnifie les éléments dont elle capte subtilement la lumière et restitue le mouvement dans des compositions puissantes volontairement dissonantes.
Rudes et farouches, ses toiles invitent à découvrir le romantisme celtique, comme aussi la beauté des paysages terriens. Sa palette est une explosion de couleurs exprimée avec sensibilité et énergie.
La puissance expressionniste de Yanouche TELGRUC a été saluée par de nombreux 1er prix.
«UN ART QUI ENVAHIT L'ESPACE»
Une peinture charnelle, à la matière dense et sensuelle, ou les nuances de couleurs s’apparentent plus à une alchimie des pigments, tel est l’œuvre peint de Jean Soyer. A la fois gestuelles et précises, ses compositions nous interpellent par une rigueur déterminée dans lesquelles rien n’est laissé au hasard. Pour s’en convaincre il n’y a qu’à regarder les créations de Soyer. Ainsi on peut voir que l’élaboration de ses tableaux donne libre cours à notre imagination : par son travail, il suggère, oriente, indique mais jamais ne cherche à imposer une idée propre. C’est pour cela que cet artiste hors du commun ne donne jamais de titre à ses œuvres, préférant nous les faire découvrir par nous-mêmes et ainsi nous offrir la possibilité d’y voir ce que l’émotion suscitée nous fait percevoir. Ce qui est certain c’est que la plupart de ses œuvres sont architecturées par des rythmes quasi-musicaux donnant naissance à des modulations vibratoires aux stridence lumineuses.
Jean Soyer est un artiste tourné vers l'espace qui nous propose
d' accéder à un univers intemporel aux travers d'une dynamique exceptionnelle entre formes, couleurs et volumes.
Un regard qui saisit les nuances de l'exceptionnel le long du chemin
Véronique STEFANINI, s’emploie à maîtriser aussi intensément que subtilement les nuances du pastel. Du travail, beaucoup de travail, dit-elle ! Créer et à la fois ressentir exige une concentration méditative.
Pour réussir, par touches successives à saisir la beauté naturelle sous un angle et un cadrage très personnel, l’artiste fait appel à sa haute sensibilité jointe à un regard unique. Sous ses doigts experts, consistance, granulation, douceur ou sécheresse du pastel ouvrent un univers de découvertes et d’impressions aussi originales que respectueuses du détail et de l’intensité lumineuse des couleurs.
Pour Véronique STEFANINI chaque œuvre est un nouveau défi qu’elle orchestre avec autant d’attention que de délicatesse.
Son travail s'inspire des arts primitifs, de la calligraphie et de l'art pariétal pour faire émerger d’un monde archaïque et imaginaire une lecture critique de la société contemporaine.
Laurence Courto mène une quête sur les racines de l’expérience humaine en interrogeant la mémoire.
À la limite du lisible et de l’illisible, de l’écriture et du dessin, sa peinture révèle la trace de strates mentales. Ce serait « la griffure » d’une expérience mentale. Trace d’une écriture ? Ecriture de la trace ? C’est tout un territoire recouvert de graffiti, de traces, d’incisions et de signes créés, c’est un livre aux feuilles de mémoire, aux écritures fixées dans une sédimentation des idées.
C’est une invite à un voyage dans l’espace et dans le temps.